Hack and frogs

stories from a frog eater in the tech world

Mir:ror Mon Beau Mir:ror

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Non pas que je rêve de jouer à faire comme la marâtre de Blanche Neige qui questionnait son miroir à la recherche de la beauté… Mais j’ai un miroir intelligent moi :) Un mir:ror ! Pour les incultes c’est une espèce de coupelle de plastique qui renferme un lecteur de puces RFID. Lecteur de quoi ? De Réfidé ! ces petites puces que l’on commence à trouver un peu partout, dans les pass Optymo ou Navigo, les badges d’accès ou encore dans le passeport biométrique des chats. Au Japon elles sont déjà très répandues.

Mais à quoi que ca sert se bidule ?

Euuuuh… un peu à tout et encore à rien. Le mir:ror de Violet est fourni avec quelques applications qui permettent de mettre à jour un profil Facebook, envoyer un mail, lancer une musique sur iTunes ou jouer à pile ou face. C’est pas tellement pour ces applications que j’ai craqué, mais bien pour ses potentialités. Il reste encore pleins d’applications à inventer autour de ce périphérique et j’ai quelques petites idées derrière la tête que j’aimerais bien mettre en oeuvre dès l’été.

Je pense que Tiwix est content d’avoir de nouveaux amis autour de lui en plus de Pinkyz et Purplyz déjà arrivés à Noël dernier. Car avec le Mir:ror il y avait deux autres nanoz:tag et des ztamp:s, autant de nouvelles puces RFID à configurer.

Je m’en vais de suite faire mumuse avec ce bijou de technologie de Violet. Je vous laisse avec Tiwix et ses copains qui découvrent le petit nouveau.

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Les Colons De l’UTBohèMe

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Faut avouer que ça sonne un peu bizarre comme nom pour un projet de cours. Il vient tout droit de l’imagination deux doctorants et du responsable de l’UV, des gens que l’on pourrait surnommer « Trolls ». Ce terme signifiant de par chez nous un individu féru de jeux de rôles et de jeu de plateau. C’est donc naturellement que le projet du semestre tourne autour de l’adaptation du célèbre jeu allemand « Les colons de Catane ».

Le principe du jeu est somme toute assez simple : un plateau, 3 ou 4 joueurs, des dés, des jetons numérotés de 1 à 12, des ressources à gagner et des villes à construire. La construction coûte des ressources. On en gagne lorsque les autres joueurs lancent les dés. Si le score des dés correspond aux jetons placés sur le paysage où l’on a construit une ville : on gagne la ressource du paysage. Vous êtes perdu ? Nous auss i au début… Heureusement sur internet on a trouvé un jeu didacticiel qui expliqué un peu toutes les règles. Soit dit en passant ils ont bien du s’amuser à le faire vu que c’est du 100 % HTML, donc un page à chaque nouvel événement dans le tutoriel…

Dans le cahier des charges les règles et les ressources du jeu sont adaptées à l’environnement de l’UTBM. D’où le nom de UTBohèMe car on nous surnomme les UTBohèMiens. Ainsi on ne gagne plus du bois ou de la paille mais de la nourriture (ou presque) et de la bière. On ne construit plus des villes mais des UV ou UV**, plus de route mais des contrôles continus. Et ainsi de suite !

La conception du jeu a donc d’abord commencé par une appropriation des règles et des principes. On a donc d’abord commencé par le design de l’interface plateau et de la fenêtre principale. Je ne vais pas m’étendre sur le code de tout ça…

On s’est bien amusé à faire un jeu plutôt facile de prise en main avec quelques minis connaissances des règles de bases. Malheureusement nous n’avons pas eu le temps d’ajouter une fonctionnalité de jeu en réseau les joueurs doivent donc tous jouer sur le même ordinateur. Enfin tout ça pour dire que parfois on peut nous proposer des projets intéressant dans nos cours, ça serait intéressant que d’autres s’en inspirent ☺ Ça nous fait un joli projet créatif en équipe et une belle mise en pratique des techniques apprises sur le Java.

Big up à mes collègues Elma et Maxime avec qui ce fut un plaisir de travailler ☺

Je vous mets quelques screenshot, et le projet en mode applet Java pour que vous puissiez le découvrir.

victoire

Point de victoire Panels 2 Plateau de jeu uvstar_green UV à construire construction Carte Construction cursuslepluslong Carte Cursus le plus long anciens Carte Anciens Desert Desert de Sevenans

Fin De Semestre

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Et hop me revoilà !

Après une énorme vague de procrastination j’ai réussi à me forcer pour revenir sur ce blog y raconter quelques trucs. Depuis le dernier billet il s’est passé moult chose qui à elles seules auraient nécessité plus d’un billet pour en parler. Je vais tenter de rendre mon compte Twitter un peu plus actif ça me permettra peut-être d’être plus souvent présent.

Donc il s’est passé plein de choses avec dans le désordre la Semaine des Arts, des sorties cinés et théâtre, le FIMU, bla and blabla… Et là actuellement nous sommes à J-10 de la délivrance scolaire. Ca sent la fin et ça fait du bien ! Mais pour un étudiant futur ingénieur qui dit fin des cours dit rendu de projets. Là c’est beaucoup moins drôle car évidemment et spécialement en info c’est jamais totalement fini. Cela amène ses petits coups de stress et ses nuits blanches, choses habituelles dans notre petite vie estudiantine. Pour ma part tous mes rendus sont maintenant terminés et j’ai pu récupérer le sommeil en retard pour d’ores et déjà penser révision d’examens dits FINAUX (booooouh !).

Si je vous parle des projets ici, c’est que pour mon premier semestre en Informatique (oui on dit plus Génie Informatique… ☹) je me suis drôlement amusé avec ce qui nous était proposé. Enfin plus particulièrement avec le projet « Les Colons de l’UTBohèMe » proposé en LO43 dans le cadre d’un cours sur l’initiation à la programmation orientée objet et aux langages C++ et Java. On ne peut pas dire que le projet de gestion de Cave à Vin en B40 dans le cours sur les bases de données m’a franchement passionnée vu la qualité des outils utilisés, genre Access. Dans le cours sur la recherche opérationnelle on nous a proposé un projet également intéressant en terme de réflexion et d’optimisation sur « les tournées sur arc avec contraintes de capacité », en gros on a une ville à déneiger le plus rapidement possible et le moins cher possible sans oublier la rue de la mère Michou.

Pour éviter de faire trop long je vais aborder dans un autre billet notre boulot sur le jeu « Les colons de l’UTBoHème » car on est bien content du résultat et qu’on s’est bien amusé à le faire.Juste là

We Are l’Europe

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Après être allé voir ce spectacle il y a un mois au théâtre Granit de Belfort en avant première mondiale, je partage mon sentiment sur cette pièce qui transporte, À ne pas rater c’est sûr !

weareleuropeD’un pas déterminé, elle rentre sur le plateau et s’assoit. Le silence se fait dans l’auditoire. Ca commence. Plongée dans la lecture de son livre elle se triture les cheveux quand rentre sur le plateau un jeune homme au pas déterminé, lui aussi. Leur premier échange est à propos d’un certain « Manu », qui n’est pas là. La discussion s’enchaîne alors sur leurs visions du monde tandis qu’il prépare le café. La pièce est aseptisée, des grands murs pour la délimiter, des néons blancs au plafond, nous sommes dans l’open-space moderne dans lequel est enfermée la société dont ils dissertent.

Et un à un, les six personnages entrent sur scène, toujours à la recherche de « Manu ». Ils s’insèrent dans la première discussion pour y ajouter leurs grains de sel et décrire leur vie. Comment ils « vivent », qu’est-ce qui les maintient debout et les fais avancer. Parmi tous un homme est conspué pour vivre et se sentir vivre à travers sa passion pour le roller. Il se « sent » dans le « fiou fiou » des roues sur l’asphalte là où les autres ne comprennent pas comment il peut s’affirmer en tant qu’être humain dans ce « fiou fiou » des rollers.

Arrive enfin Manu, ce grand gaillard, des boîtes à la main. Il les jette rageusement avant d’entamer un long monologue. Pendant qu’il soliloque les autres autour de lui entament leur transformation pour devenir petit à petit des supers héros. À la fin de l’énoncé de Manu sur le pourquoi du comment il est fâché à cause d’une cuisine toute équipée, au long plan de travail, qu’il achètera avec sa femme 8 000 €, grâce aux subventions données pour la naissance de son troisième enfant, la troupe des sept super-héros s’anime et danse.

Réunis tous les sept pour débattre du projet We Are l’Europe. Discuter et Remettre à plat les fondements de la société dans laquelle ils vivent pour retrouver une place « au petit blanc occidental » dans un monde mondialisé. Partant du constat qu’aujourd’hui « on ne bande plus » ils énoncent les maux qui les traversent mais que nous, spectateurs, vivons aussi, en tant que membre de cette société.

C’est du concret, du réel que l’on peut toucher. Par exemple quand l’un s’interroge en se demandant « Qu’est-ce qui t’es arrivé aujourd’hui ? ». Chaque énoncé est une réflexion en plus pour le spectateur qui se pose les mêmes questions à lui même, et tous ensemble nous nous demandons « Qu’est-ce qui m’est arrivé aujourd’hui », comme pour se rendre compte comme eux qu’il ne nous arrive rien.

Et de discours en chanson ils démontent et démontrent que la vie du « petit blanc occidental » ne lui appartient plus. Que nous nous situons entre les États-Unis et la Chine et nous devenons la variable d’ajustement entre deux puissances.

Tous ces sentiments mêlés à celui d’une Europe post-coloniale à la supériorité matérielle et culturelle déchue dans ce « monde qui part en sucette », les amenèrent tour à tour à assommer la société de consommation ; Celle qui fait acheter un iPhone et qui nous en rend dépendant, la société spéculative qui met sur le carreau des milliers de personnes pour que d’autres s’en mettent plein les poches.

C’est une satire, servie par le texte de Jean Charles Massera. Satire oui, mais qui s’annonce comme une évidence, comme des réalités auxquelles nous sommes confrontés tous les jours. En quelque sorte une fatalité à laquelle nous devons nous efforcer d’échapper pour redevenir acteur de nos vies. L’exemple à suivre est-il celui du fana de roller qui glisse sur ses roues avec un air de « Natural Blues » de Moby sorti de son iPod pour le transporter dans son expérience individualiste ?

Dans leurs différentes prises de paroles ils s’emmènent vers le projet commun We Are l’Europe, avec la même idée d’un vivre ensemble bien, sans puissance supérieure néfaste à l’accomplissement de soi.arton27.jpg

Et enfin après avoir pendant près de deux heures décrit le portrait morose de notre « monde qui part en sucette » ils finissent par ce dire que tout n’est pas si pourri, que l’on est pas en Birmanie, que l’on a notre confort, qu’il y a des choses qui marchent, que certaines libertés nous sont acquises.

Le changement est en marche « et ça va bien se passer » pourrait être la conclusion de cette pièce qui s’achève dans l’euphorie de la complainte d’un roi déchu chantée dans « Viva la vida » de Coldplay.

Les néons qui aveuglent et aseptisent le monde s’éteignent. La joie et la vie reprennent le dessus. La pièce est terminée. Le spectateur reste seul face à tout ce qu’il a vu, face à tout ce qu’il a engrangé.

Pas évident de sortir un fil de la pelote, d’entamer la réflexion sur notre vie et notre place au sein du groupe, ou encore notre oisiveté face à ce qui nous entoure. L’envie qui prédomine est de vouloir faire quelque chose de ses mains. Comme un éclair de lucidité, se dire qu’ici et maintenant on peut faire quelque chose. Demain il sera trop tard notre réalité nous aura rattrapée.

Après avoir vu cette pièce trois fois, entre la générale et deux autres représentations, on voit certains changements minimes dans la mise en scène, néanmoins le message ne perd pas de sa force, il touche et interpelle toujours autant. On regrette de ne pas avoir pris son calepin pour noter tous les points de questionnement et d’idée par lesquels passent les personnages. Enfermé dans cette bulle d’optimisme on se dit à la manière de Grand Corps Malade « ça va chermar ».

Et demain se lever pour aller pointer et rêver encore du Grand Soir.

Petite Insomnie Du Soir

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Parfois il arrive que l’on dorme pas la nuit à cause de milles et une idées qui peuvent traverser l’esprit. Ce soir entre d’autres des idées il y avait celle ci pour un concept d’affiche pour la Semaine des Arts 2010. J’ai certainement Apple dans la peau ca fait deux fois que j’énonce une idée qui reprend une de leur campagne, ici on s’inpire de la campagne des iPods. Vous me direz les silhouettes c’est usé et reusé comme truc, m’enfin tout de même, je dormais pas alors il m’a bien fallu que je m’y mette sur photoshop.

And voilà le brouillon du truc : Affiche SdA silhouette

In Live From the Apple Store of Paris Carousel

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Finally after 4hours of waiting from 6 in the morning to 10 i’m In !!!! It was really coool i met funny guys, two teens and two adults and we spend all the tail together. It’s hard to say how cool it was, something amazing. We all have something in common, we love that and we speak about it during 4hours :)

Seven years of waiting for the crazy stuff !

Happy like nobody else to be on the place :)

Got my unique shirt but no gift pack :(

The new Magic Mouse is really fun, too cool in the hand photo apple store

Nouvelle Version Du CV web2.0

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Nouvel arrangement pour mon CV, avec un rendu sur les langues que je pratique un peu plus explicite, et corrections de quelques fautes. Fini de faire mumuse avec indesign, retour à la cristallo et les diagrammes d’équilibres… :(

Modifs Et Nouveau CV

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Quelques modifs sur le site pro, un peu dur de se remettre dans la bidouille de dotclear :( Il manque un bon pont entre la version française et la version anglaise. Manque aussi des articles dans la partie portfolio.

La nouveauté c’est le CV à la sauce web 2.0, pour l’instant dispo uniquement en anglaisà voir ici :Mon site pro dans la partie CV.

Basel Jour 2

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Second jour à Basel ou Bâles selon la langue. Après avoir quitté le camps de base en début d’après midi nous nous sommes dirigé vers le musée de la fondation Beyeler un peu à l’extérieur de la ville. C’est donc avec plaisir que nous sommes monté dans ces trams qui ont l’air de sortir d’un autre temps mais qui en réalité sont tout neuf et beaucoup moins spartiate quee ceux de Pétrosavosk en Russie. On a traversé de charmante bourgades bordées de verdures pour arriver à ce musée. Le temps d’acheter quelques tablettes de chocolat pour faire notre repas de midi et nous voilà parti pour visiter les différentes expos, notamment l’expo temporaire sur Giacometti et son oeuvre. Au programme : Picasso, Magritte, Monet, Cézanne, Miro… Que du beau monde dans un batiment à l’architecture originale très plaisante avec cette armonie entre l’eau et le jardin.

Petite balade ensuite sur à travers champs entre ruisseau et vaches en paturage, la nature aux portes de la ville. Visite du petit musée d’art multimédia et de celui d’art contemporain sur les rives du Rhin. Pour enfin se rendre à visiter le jardin botanique de l’Université, et suivre un canal à la frontière entre la Suisse et l’Allemagne. Nous avons séjourné en Allemagne le temps d’un repas dans un restaurant chinois à la frontière et nous voilà de retour à l’hotel…

Demain nous irons certainement visité les ruines romaines avant de rentrer sur Belfort. Voilà les quelques photos de la journée :

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Ich Bin in Basel

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Bien arrivé à Bâles pour un petit weekend avec le paternel. C’est une ville très sympa, et très agréable. Un centre ville historique dépourvu de voitures avec des trams très réguliers. Le rhin comme paysage. Une ville entre Suisse-France-Allemagne où l’allemand prédomine sur le français et où mais quelques notions ne servent pas à grand chose à partir dire “dzwei” quand on va au restaurant… Impossible de me souvenir ce qui faut dire à la place de gutten tag quand c’est l’après midi ou le soir.. En clair il faut bosser :) Voici quelques petites photos de notre première journée, demain nous visiterons les musées.

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